Des réponses à la question posée : Que reste-t-il à faire pour passer à l’acte ?
1 – Mieux identifier les valeurs ajoutées de la télésanté pour chacune des parties prenantes. La reconnaissance notamment économique des actes de télésanté en sera facilitée 2 – S’appuyer davantage sur les besoins exprimés par les patients (via leurs associations) et par les professionnels de santé. Ceux-ci représentent une force d'expertise et de proposition croissante 3 – Renforcer, en concertation avec les décideurs/acteurs concernés (Santé ; Industrie ; Recherche ; Aménagement du territoire) les actions de conduite du changement/accompagnement culturel, professionnel. La télémédecine s'apprivoise facilement, mais ne s’improvise pas
4 – Avoir une approche globale au plan national - voire européen - de la télésanté pour mieux coordonner les projets régionaux
5 – Mieux connaître les expériences étrangères de télésanté (leurs retours d'expérience positifs ou négatifs) pour les comparer plus précisément aux expériences françaises et aux potentiels de développement de la télésanté en France
6 – Amplifier les communications / représentations des acteurs français dans les instances internationales
7 – Participer, en appui aux sociétés savantes et en partenariat avec les institutions concernées, à la réalisation et à la (télé)diffusion de guides de bonne pratique en télésanté
8 – Favoriser les projets internationaux associant la France et ses partenaires (par exemple le Québec, la Pologne , l'Afrique, …)
9 – Développer les financements innovants (entre autres PPP - Partenariats Publics / Privés)
10 – Adopter une démarche "qualité de services médicaux rendus" dans les projets de télésanté