Comment choisir le sexe de son enfant ?

choisir le sexe de son enfant

Le sexe du bébé a une importance capitale pour les parents, qu’il s’agisse du premier enfant, du cadet ou du troisième. Désormais, il est possible de se faire aider pour choisir le sexe de son futur nouveau-né.

Le cycle d’ovulation

Nombreux sont les couples qui souhaitent avoir le choix sur le sexe de leur enfant. Cette préférence affecte surtout les futures mamans. Choisir le sexe d’un bébé n’est pas juste une question de croyance mais surtout d’application. Tout se joue dès la procréation car cela n’est possible que par la programmation des relations sexuelles au bon moment. En étudiant bien le cycle d’ovulation de la femme, il est possible d’y arriver facilement. De plus, la connaissance du corps et de son fonctionnement est primordiale pour avoir des résultats pertinents.

User de la période d’ovulation ?

La date de l’ovulation devrait être étudiée de près. Le suivi de la température permet de repérer facilement la période d’ovulation. La prise journalière à l’aide d’un thermomètre permet d’établir des courbes de température. L’existence de ces courbes pendant quelques mois, voire une année, aide à déterminer plus facilement à quel moment la température du corps varie durant le cycle. Normalement, après l’ovulation elle augmente de 0,2 à 0,5 °C par rapport à la normale, et ce, pendant quelques jours. Cette pratique permet d’identifier les signes d’ovulation si le couple ne veut pas suivre le calendrier des règles. Par conséquent, si le rapport sexuel est plus proche du jour d’ovulation ou la date même, les probabilités d’avoir un garçon sont bonnes. Pour concevoir une fille, il est préférable que la relation sexuelle ait lieu avant l’ovulation, quatre jours au minimum. Les méthodes naturelles désignent également les différents paramètres qui peuvent affecter et changer l’état du corps. Le stress a une grande influence sur ce que peut être le sexe de l’enfant. Une étude à l’université d’Oxford a démontré que pendant la grossesse, plus une femme se stresse, plus elle a de la chance d’avoir une fille. Dans le cas contraire, elle aura l’opportunité de donner naissance à un garçon. Un fait qui s’explique scientifiquement, l’embryon mâle a du mal à se fixer dans la paroi de l’utérus.

Les approches scientifiques

Les approches scientifiques s’accompagnent toujours d’instructions médicales. Il s’agit généralement de la prise des compléments alimentaires proposés par les médecins, du tri des spermatozoïdes et de l’insémination artificielle. Le régime alimentaire permet d’orienter le pH d’une femme, que ce soit avant ou après les rapports sexuels. Pour avoir une fille, le pH de la glaire cervicale devrait être inférieur à 7 car les spermatozoïdes femelles sont mieux favorisés dans un milieu acide. La femme devrait, dans ce cas, consommer des aliments ou compléments riches en calcium et en magnésium mais pauvres en sel. Par contre, pour avoir un garçon, les spermatozoïdes mâles préfèrent un milieu basique avec un pH supérieur à 7. L’alimentation de la future maman devrait donc se baser sur un régime riche en sodium et en potassium. Concernant le tri des spermatozoïdes, les futurs parents devraient consulter un spécialiste en apportant un échantillon de sperme. Ce dernier sera placé dans une fiole remplie d’albumine, après quoi les spermatozoïdes se trouvant en bas devraient être des mâles et ceux d’en haut, des femelles. Selon le choix du couple pour le sexe de l’enfant, la femme sera alors inséminée par les cellules sexuelles. L’insémination artificielle quant à elle, consiste à prélever les gamètes mâles et femelles et à les fusionner pour insérer le zygote obtenu dans l’utérus de la femme. C’est à partir du développement de l’embryon que le médecin peut analyser et déterminer le sexe de l’enfant. Avant ça, la future maman suit des traitements de fertilité et subit des injections hormonales pour atteindre la maturation des ovules. Ces dernières sont ensuite recueillies par une petite intervention chirurgicale.